Carcasse de cosses de coco, au bord de la rivière.
Après tout ça, j'ai voulu en savoir plus. Cela n'a pas été facile de me faire comprendre, je voulais trouver la source du travail de la noix de coco. Dans cet endroit, très très peu de personnes parlent une langue étrangère. Mais, dans un café, même en ne parlant que maléalam, une jeune homme plus vif d'esprit comprit mon intention. il me donna sur un morceau de papier le nom du village où je devais me rendre pour satisfaire ma curiosité. Je pris le bus, et vraiment j'étais comblée.
Dessin quadrillé.
Des mètres et des mètres
Un métier à tisser le coco, plus étroit.
Combien de lames ?
Impressionnant !
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