Cette fleur me rappelle le feu d'artifice : d'un centre s'éclate mil étoiles de feu.
Les graffitis sur les palissades du Rotillon, accompagnent les couleurs des maisons. Cela donne une *joyeuseté* à un passage qui est un peu tristounet.
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Beur...kkkkkk!
RépondreSupprimertrop défiguré, le pauvre mur, ça fait mal aux mirettes.
Au début, quand les graffitis ont commencé à apparaître, je trouvais ça horrible.Regardez-y de plus près,les lettres décorées, les entrelacs, l'équilibre des couleurs. Je trouve ça vraiment très calé ! le mouvement a commencé au USA. Contestation des quartiers pauvres. Ils ne pouvaient que peindre sue les murs. Ils se sont mis à peindre sur les wagons du métro, pour que les peintures soient vues en circulant. Les *artistes coupaient à la cisaille les treillis qui étaient sensé protéger les wagons en dépôt.On appelle ces peintures *l'art de la rue*. Je trouve que c'est vraiment d l'art, ne vous en déplaise.
RépondreSupprimerBien sûr il y en a de pas beau, qui fond*sale*. C'est ce qui a effrayé les gens... la saleté. Je ferais, un jour un reportage sur le sujet. A Lausanne il y en pas pas mal, comme ceux qui décorent les palissades tristes anti bruit dans les quartiers populaires du nord, découverts grâce à *Lausanne jardins*..