HISTOIRE DE TRICOT !
Si à l'école nous apprenions à tricoter, je ne me suis *lancée*, ensuite, que très rarement dans de *gros travaux*, pour des résultats pas très concluants et décourageants.
Un jour, à Londres, dans un grand magasin, je tombe sur une robe tricotée,vert pomme, exposée sous la plaque de verre d'une banque, au rayon *laine*. Je découvre que celle-ci est *à tricoter*, que le modèle est dans* Annabelle*. OK ! j'ai mis 3 semaines à me décider, le journal n'étant plus en kiosque, j'ai du le commander tout spécialement. La robe était tricotée en une semaine dans une laine pas trop fine. gris clair, en plus avec un dessin irlandais pour le buste. A l'époque, je travaillais dans un hôtel et, étant libre tous les après midi, cette fois, j'ai tricoté au lieu d'aller visiter un musée.
La robe est resté 15 jours sur le dossier de la chaise, avant que je n'aie le courage de coudre les morceaux ensemble. Ca, je n'aime pas.
Depuis ce jour, j'ai continué à tricoter. A Londres, il y avait des parois entières de modèles, qui faisaient envie. Pas besoin d'acheter un *bouquin* entier. J'en ai tricoté, assise, parterre, à côté du poêle, la *Cheminée* à gaz nous prenant beaucoup trop de pièces. Ma préférence allant très souvent pour les modèles et la laine Jeager, shettland.
Il est judicieux de relever des mailles pour tricoter une bande à rabattre, si la fente est en laine fine. Le travail ne *roulera* pas. Pour l'ourlet, j'ai tricoté des trou trous, toute les 3 mailles. Une fois rabattu, cet ourlet restera en place. Avec le coton je n'ai pas trouvé nécessaire d'agir ainsi.
Pas une mince affaire.
Commencée juste avant de partir au Japon, le 5 octobre. Où j'y ai tricoté le dos.
Laine toute fine, aiguilles numéro 3 ou numéro 11 anglais.
Plutôt pour porter avec des pantalons.
Plus large qu'elle n'en a l'air.