Bravo Monsieur, vous êtes prévoyant ! Il y en a tellement, actuellement qui vont avoir besoin d'un acousticien pour être appareillé. Il parait que des jeunes recrues, aptent au service militaire, sont déjà sourdes. Certaines professions leurs sont définitivement fermées. Les acouphènes vont faire parti de leur vie, plus tôt que prévu.
Il est essentiel de protéger les enfants. Cependant, on pourrait aussi s'interroger sur la puissance des hauts-parleurs (toujours trop élevée). Pourquoi ne peut-on ou ne veut-on pas les régler? Pourquoi aussi ne pas envisager des soirées avec un public moins nombreux, ce qui permettrait un volume sonore raisonnable?
RépondreSupprimerje me suis laissé dire qu'il y a des groupes qui refusent de jouer si ils n'ont pas la puissance. se sentent-ils plus puissant ? Ceux-là aussi auront un jour besoin d'appareillage... Si ils veulent se démolir le conduit auditif, cela les regarde, quand à démolir celui des autres, c'est insupportable! Il y a des concerts dont je me prive, car je sais que la sono sera beaucoup trop forte. Même dans des défilés de mode, ils attrape cette horrible manie...
RépondreSupprimerLe pire subit en tant que sono, a été le concert de ZABO, que j'adore, à l'EPFL. INSUPPORTABLE. Je me demande si les musiciens portent des protections. Cela est quand même illogique d'aller au concert en se bouchant les oreilles.
RépondreSupprimerLe mieux est encore de baisser le volume ou d'aller dans des concerts ou la sono n'est pas à fond les gamelles. Quel plaisir sinon que de mettre des bouchons ? Ne pas hésiter à signaler quand le niveau est excessif (105 dB de moyenne et 120 dB en crête très rarement respectées surtout dans les petites salles de rock...)
RépondreSupprimerCher Nono. Comment savoir d'avance quels concerts n'aurons pas les décibels assourdissants, * à font les boutons*. Lors d'un souper marocain organiser par par un resto, dans une grande salle en dehors de Lausanne, l'orchestre venu tout exprès du Maroc, remontait le volume à chaque fois que le responsable le baissait. Ils s'amusaient comme des enfants. On aurait dit que les musiciens ne s'étaient jamais entendu joué si fort. Beaucoup de monde rouspétaient, nous avions payé le repas d'avance, il était délicieux, donc nous ne pouvions pas partir. Il faudrait faire la grève des concert désobéissants, mais comme les gens aiment ça, c'est peine perdue. Béatrice
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