Une écharpe tricotée main.
Solidifiée avec un fil de fer.
Cache la nudité de la dame, prétexte au texte.
Vitrine montée chez Nicolet et Mooser, optique à Lausanne.
Pour ceux qui s'en souviennent.
L'autre vitrine exposait une oeuvre d'Irina Katz, Parisienne, avec aussi une grande écharpe rouge.
J'avais obtenu un grand poster d'une de ses expositions par ici.
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Intéressant. Klimt a fait beaucoup de choses, mais je ne connaissais pas du tout celle-là. Un artiste qui n'avait pas peur de surprendre.
RépondreSupprimerJe présume que c'était dans l'air. C'était le moment de révolutionner la peinture. Ils ont été plusieurs à faire * Sécession *., Egon Schiele par exemple. Là je peux bien penser que ces nus torturés et décharnés, aient posés problèmes à la critique. Surtout au début du 20ème siècle.
SupprimerSi j'aime bien Klimt, j'aime aussi les villes de Schiele, elles annoncent Hundertwassr.
Si vous remontez un tout petit peu le blog, vous verrez la même peinture dans une autre vitrine... sur les peintres.
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