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samedi 15 août 2015

Jungstriichmusig Alder mit Nicolas Senn - Die Pfiifestier

Pour * Les idées heureuses *.




Dans leur beau costume traditionnels

Swiss Ländler Gamblers






Petite musique d'Appenzell.

ça change des géraniums !!!



Les lamelles de bois pour ce style de construction s'appellent des tavillons. 
Il y en a aussi dans le canton du Valais et dans la canton de Fribourg pour la Suisse Romande.

Tuiles de bois ; toits de bardeaux, toits de tavillons,. En France ; toits de tavaillons. 




vendredi 14 août 2015

traditions vivantes en Appenzell


Les arts populaires ruraux, coutumes ancestrales et traditions sont présents en Appenzell comme au Toggenbourg.

J'ai emprunté ces deux photos sur ce site que je vous recommande.


Le dernier jour de l'année, on observe une particularité du pays d'Appenzell: des personnes déguisées et masquées se rendent d'une ferme à l'autre, en « Silvesterchläuse ». Ils sonnent des cloches, entonnent un jodle naturel et chassent les mauvais esprits. Cette coutume haute en couleur est pratiquée depuis de nombreux siècles.

Enfiler les costumes traditionnels de Silvesterchläuse pour fêter l’arrivée de la nouvelle année, reste une tradition aussi vivante aujourd’hui qu’elle ne l’était au début du siècle dernier.
En Appenzell on célèbre deux date de Nouvel An, le 13 janvier (date de l’ancienne Saint-Sylvestre selon le calendrier julien).

Au Pays d’Appenzell, en Suisse, on ne fête pas le Nouvel An une fois, mais bien deux—avec les « Silvesterchläusen »Les « Silvesterchläusen » dans le canton suisse d’Appenzell, sont une des traditions hivernales les plus vivantes de Suisse.

Seuls les hommes forts peuvent prétendre devenir des Chläuse, car c’est une activité exténuante : tout d’abord parce qu’il faut pouvoir supporter le poids du costume, qui représente près de quinze kilos, mais aussi parce que les festivités ne s’arrêtent pas là et continuent jusqu’aux petites heures du matin. Cette routine est répétée le 13 janvier, qui correspond à la date de l’ancien Nouvel An. Le calendrier Julien.

Pourquoi célébrer l’ancien Nouvel An et le nouveau Nouvel An La tradition qui veut que l’on célèbre deux fois la nouvelle année au Pays d’Appenzell vient des calendriers julien et grégorien. Les Chläusens ont vu le jour à l’époque où l’on utilisait encore le calendrier julien. La date de « l’ancien » Nouvel An, le 13 janvier, remonte à un conflit concernant le calendrier au XVIe siècle lorsque le Pape Grégoire II décida d’améliorer le calendrier julien en avançant de treize jours la date du Nouvel An. Les protestants de Ausserrboden, et d’autres, n’ont pas voulu reconnaître les idées du Pape et ils ont refusé d’abandonner leur ancien calendrier. Encore aujourd’hui, le Nouvel An est célébré, contre vents et marées, à l’ancienne date. Cela a donné lieu au milieu du XIXe siècle à la création officielle du « Calendrier d’Appenzell ».


En l'an 2000 j'avais monté une vitrine sur les calendriers du monde. C'est en faisant des recherches que j'étais tombée sur cette histoire que j'ignorais totalement.





Appenzell, la campagne environnante.





Costume d'Appenzell.
Photo empruntée à un site sur  *les arts populaires d'Appenzell *.


les fameux nains de jardins.

 Ont-ils du succès auprès des touristes qui envahissent les rues. !!!???

Suisse Orientale, Appenzell


 « La Suisse orientale est une région du nord-est du pays située au nord des Alpes glaronaises. Les territoires de cette région, pays alliés ou bailliages communs, intègrent progressivement la Confédération entre 1352 et 1805. Cette région compte un peu plus de 902 000 habitants en 2010 (11,6 % de la population totale du pays) pour une superficie de 4 416 km2, soit 10,7 % de la superficie du pays. Son territoire s'étend sur le plateau et les préalpes, entre Winterthour et le lac de Constance. Sa langue officielle est l'allemand et la plus grande ville est Saint-Gall. »




jeudi 13 août 2015

Appenzell !!!!!!!!

Histoire

En 1071, le village est mentionné sous le nom d’Abbacella, puis Abtenzelle, avec la présence d'une métairie et d'une église paroissiale, appartenant au prince-abbé de Saint-Gall. En 1223, apparaît le toponyme Abattiscella qui signifie « la retraite de l’abbé » (Cella étant le terme latin désignant une cellule monacale).
En 1378, la réunion des communes forma le pays d'Appenzell. En 1401-1408 se déroulent les guerres de libération d'Appenzell et, en 1411, le couvent renonce à toutes ses prétentions.


La Löwen-Drogerie située dans la rue principale est considérée comme un véritable joyau en raison des superbes peintures qui ornent sa façade. Johannes Hugentobler a représenté des plantes médicinales sur les caissons en arceau des volets, établissant ainsi un lien entre ses dessins et la droguerie.




Le choc !
Certaines maisons ont été repeintes de couleurs criardes. peut-être étaient-elles déjà peintes tel quel au moment de leurs constructions ? Le temps ayant atténué les couleurs.

Aussi étrange que cela puisse paraître, les sculptures de l'acropole d'Athène était complètement peintes.
Les archés avaient des leggings rouges vifs. Il ne reste que quelques pigments pour en témoigner.
Une exposition à l'université de Bâle a reconstitué des statues avec les couleurs des pigments retrouvés. Très vives !

Alors pourquoi pas repeindre les maisons d'Appenzell avant qu'elles ne s'effacent !

Chaleureux !


* Coiffeur *, dans le dialecte du pays.



La chapelle de la Sainte-Croix dans la rue principale a été reconstruite après que le village a été ravagé par le feu en 1560. Les vitraux représentant les cinq secrets du douloureux rosaire ont été créés par Ferdinand Gehr en 1964.





  Le «château», un bâtiment ceint de murs à l’est de la Postplatz, occupe depuis toujours une place à part dans l’architecture villageoise d’Appenzell. Il appartient depuis 1780 à la famille Sutter, qui l’habite.



La rue principale ou Hauptgasse avec ses jolies maisons colorées constitue toujours une attraction pour les visiteurs. L’imposant hôtel de ville (Rathaus) avec des peintures en façades d’August Schmid de Diessenhofen (1928).

Hôtel de Ville construction de 1561-1563, avec des fresques sur sa façade retraçant des épisodes de l'histoire appenzelloise.
Appenzell rejoignit la confédération suisse en1513.



La Landsgemeinde (littéralement en allemand : « Communauté rurale » ou « Assemblée du pays ») est une institution de démocratie directe que l'on trouve dans certains cantons suisses
Son objectif est de résoudre des problèmes collectifs en réunissant les citoyens de la commune ou du canton.
Les votes se font à main levée. Le compte est plutôt approximatif que précis.


La Landsgemeinde est en usage en Appenzell Rhodes-Intérieures et à Glaris.

Place mythique de la Landsgemeinde, où jusqu'en 1991, seuls les hommes pouvaient voter à main levée.


Photo d'une votation à mains levées prise sur la toile.


Les paysages vallonnés de la Suisse verte.

En route pour Appenzell







mercredi 12 août 2015

Nous reprenons la route !



 Enseigne d'un bijoutier contemporain.

Clocher à bulbe.
Le clocher à bulbe — également appelé oignon — est une architecture baroque appliquée aux clochers. Dans le Saint-Empire romain germanique, les clochers à bulbe baroques sont nombreux particulièrement en Bavière, en Forêt-Noire, en Autriche et les pays slaves. ...

Lichtensteig, charmante petite ville.

 galerie couverte.


 Colombage.
Le terme de « colombage » utilisé couramment pour désigner un ensemble de « pans de bois » vient du mot colombe (n.f.), attesté en 1334 au sens de « jambage de porte », « poutre dans un mur » et poutre dans « solive de charpente », lequel est un doublet du terme « colonne » attesté sous la forme columbe en 1080 ; le /b/ épenthétique est lié à la difficulté de prononciation du groupe /mn/ du latin classique columna, colonne1.Cette technique, connue dans l’antiquité romaine sous le nom d'opus craticium, a été utilisée en France au moins dès le Haut Moyen Âge jusqu’au XIXe siècle. Cependant, dès le XVIIe siècle et durant tout le XIXe siècle, on plâtre les façades des maisons à pans de bois afin de leur donner un aspect plus luxueux et moderne. Mais de nombreuses maisons à colombage subsistent un peu partout en Europe et des plans de restauration sont mis en œuvre afin de conserver ce type d’habitat considéré comme un patrimoine architectural.



Vitrine de bijoutier.


Fenêtres aux vitres gravées. Très en vogue au temps de  *l'Art Nouveau*. Beaucoup de vieux hôtels ont encore de magnifiques fenêtres aux vitres gravées


mardi 11 août 2015

Rappersvill début d'une balade en Suisse Centrale.

 Allier l'ancien et le contemporain... Pourquoi pas ! Il y en a certainement qui ont crié * au scandale *.
Une curiosité pour les touristes futurs.

Le musée.
Après les insurrections de 1830 et de janvier 1861 contre la domination russe dans le Royaume du Congrès, l'écrivain et poète Gottfried Keller fonde le Comité central suisse pour la Pologne en 1863 en collaboration avec le comte Władysław Plater, réfugié politique à Rapperswil. Ce dernier créé, en octobre 1870 avec l'aide d'Agaton Giller, un « mémorial pour l'histoire polonaise dont la patrie est aujourd'hui déshonorée et pillée par les occupants » sous la forme d'un musée situé dans le château de Rapperswil. Les salles du château sont alors rapidement remplies de dons (œuvres d'art, documents, collections de livres) offerts par des polonais ou des amis de la Pologne partout dans le monde, faisant de la ville de Rapperswil le cœur de la résistance polonaise jusqu'à l'établissement de la Deuxième République de Pologne en 1918. Le comte Plater décida alors de rapatrier les collections en Pologne : 20 000 estampes, 9 000 pièces de monnaie, 92 000 livres et des centaines de boîtes d'archives remplirent près de de 13 wagons et furent transférés à Varsovie. La plupart de ces documents seront détruits lors de la destruction de la ville pendant la Seconde Guerre mondiale.

Bien que la Suisse ait reconnu dès 1945 le gouvernement communiste à Varsovie, le gouvernement de la ville craint que le musée ne devienne un centre pour la propagande communiste et résilie le bail. Les collections sont rapatriées en Pologne en 1952 et le château devient alors le siège de l'association suisse des châteaux-forts. Cependant, un groupe de suisses et d'émigrés polonais créé, à la suite de la fermeture du musée, une association des « Amis du musée polonais de Rapperswil ». À l'initiative de cette association, le musée est ouvert une troisième fois, à nouveau dans le château de Rapperswil en 1975. Quelque temps après, le musée, de même que le château qui l'accueille, est inscrit comme bien culturel suisse d'importance nationale...


En 2008, une pétition est lancée par des habitants de Rapperswil pour que le musée quitte le château ; en réponse, les responsables du musée vont mener une campagne en faveur de leur maintien. Cependant, en 2014, les autorités locales annoncent que le musée devrait quitter les lieux dans les deux prochaines années : le château doit en effet être totalement rénové et l'étage actuellement occupé par le musée polonais transformé en restaurant. La directrice du musée, Anna Buchmann, accuse alors les autorités locales d'anti-polonisme.







Rappersvill est la résidence de notre cirque national ; Knie.