Drôle de photos pour une mise en bouche !
Les centaines de personnes débarquant du train Genève, Berne, Zurïch. Prises à travers une vitre sale.
De nuit !
Les Bernois parlent facilement français. Je m'adresse toujours en français à mes interlocuteurs. Mon allemand étant très pauvre, et beaucoup oublié. Très rarement, ils ne comprennent pas. Ils sont moins paresseux que les Romands pour apprendre une langue *étrangère *. Même si ils l'apprenais à l'école, l'anglais a pris le dessus. Observez le journal *LE TEMPS *, de langue française. Aussi, beaucoup de Suisses Romands travaillent à Berne ou y font leurs études.
Déjà beaucoup de monde.
Le quatrième lundi de novembre, la vieille ville de Berne se transforme entre la gare et la Bundesplatz (Place du Palais fédéral) en un grand marché avec des centaines de stands. Les paysans des environs, principalement du district fribourgeois du Lac, viennent vendre plus de 100 tonnes d'oignons, présentés sous forme de tresses, mais aussi des légumes, des fruits et des noix.
Le marché aux oignons est un vestige d'un
marché automnal de la Saint-Martin qui durait quinze jours et qui est
connu dès le 15e siècle. Selon une légende toujours entendue, son
origine remonterait à l'incendie de la ville de 1405. Les paysans des
environs auraient activement aidé aux travaux de remise en état et
ainsi reçu le droit de vendre leurs produits en ville. Cependant, ce
n'est qu'en 1439, qu'un marché automnal est apparu, mais de toute
façon, les légumes pouvaient être mis en vente sur les marchés
hebdomadaires. Les documents mentionnent les oignons seulement à partir
du milieu du 19e siècle, époque à laquelle des lignes ferroviaires ont
été construites entre les régions agricoles et la ville.
Courageuse, va! Je n'y vais pas, agoraphobe je suis! Mais j'aime ces chaînes d'oignons - emblématiques des marchés paysans. As-tu mangé de la soupe à la farine?
RépondreSupprimerBonne journée!
Et encore, 7h.30 ce n'est pas tôt. Il y en a qui y vont à 3h. du matin.
SupprimerL'année passée, il faisait déjà jour à mon arrivée à Berne. Une foule pas possible. Désagréable pour prendre des photos.
Je n'ai pas mangé de la soupe à la farine, je connais, j'adore, mais une délicieuse tranche de gâteau aux oignons. Il fût un temps où j'en faisais régulièrement, puis, c'est sorti de mon cerveau.
Attends la suite du reportage.
Si tout va bien l'année prochaine, je t'achète une tresse d'oignons et on se voit à la fin de la journée, dans une gare, car j'y vais en train ! OK ?!
vous allez pleurer ensemble..:((((
RépondreSupprimerElfi.
RépondreSupprimerTu peux aussi venir... plus on de fous...
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