Est-ce seulement une question pour ces Dames? ou les hommes peuvent-ils y répondre aussì?
Je pense que c'est probablement une vue contre en bas d'une des choses qui m'avait le plus marqué lors de ma visite au château de Chillon comme enfant: on se trouve au haut d'une tour et le lieu, s'il était au fond d'un jardin aurait sûrement un coeur découpé dans la porte ;-)
Mais si mes souvenirs sont bons, à l'époque on ne se rendait pas forcément seul en ces lieux comme aujourd'hui, car je crois me souvenirs qu'il y a au moins deux de ces trous l'un à côté de l'autre.
Ceci dit, en hiver, ça ne devait pas être très agréable. Peut-être est-ce là l'origine de l'expression "on se les gèle"...
Bon bon, ces "dames" ont trouvé, me voilà rassurée... si je comprends bien, la barre c'est pour éviter de tomber dedans... moi qui ai pratiqué ce genre un peu révolu, à la campagne car mes parents avaient "une maison de campagne", j'avais toujours la trouille de tomber dedans !
Le premier commentaire est masculin, chère Michelaise.
Ma grand mère, Française, avait aussi des toilettes pareilles au fond du jardin. Nous, les *petites Suisses* n'aimions pas y aller. Même par temps de pluie, cela ne sentait pas la rose.. Et nos petites jambes ne touchaient pas par terre. A Vic sur Aine. Nous qui avions le confort de toilettes à l'intérieur de l'appartement loué, cela nous faisaient tout bizarre ces drôles de toilettes-là !
Très juste ! Le papier journal !!! même en Suisse, chez nous, nous en découpions. * maman y a plus d'de papier* ! Et la voilà qui accourt avec une nouvelle provision. Le papier en rouleaux était très cher. Même en Suisse, la plupart des familles étaient peu argentées au sortir de la guerre. Souvenir, souvenir.
Est-ce seulement une question pour ces Dames? ou les hommes peuvent-ils y répondre aussì?
RépondreSupprimerJe pense que c'est probablement une vue contre en bas d'une des choses qui m'avait le plus marqué lors de ma visite au château de Chillon comme enfant: on se trouve au haut d'une tour et le lieu, s'il était au fond d'un jardin aurait sûrement un coeur découpé dans la porte ;-)
Mais si mes souvenirs sont bons, à l'époque on ne se rendait pas forcément seul en ces lieux comme aujourd'hui, car je crois me souvenirs qu'il y a au moins deux de ces trous l'un à côté de l'autre.
Ceci dit, en hiver, ça ne devait pas être très agréable. Peut-être est-ce là l'origine de l'expression "on se les gèle"...
Bien vu, il y a une paire de lunettes. Et, l'énoncé est très romantique.
RépondreSupprimerBéatrice.
Je pense aussi qu'il s'agit, très prosaïquement, des "toilettes" médiévales. Mais de quel château?
RépondreSupprimerAnne
Bon bon, ces "dames" ont trouvé, me voilà rassurée... si je comprends bien, la barre c'est pour éviter de tomber dedans... moi qui ai pratiqué ce genre un peu révolu, à la campagne car mes parents avaient "une maison de campagne", j'avais toujours la trouille de tomber dedans !
RépondreSupprimerLe premier commentaire est masculin, chère Michelaise.
RépondreSupprimerMa grand mère, Française, avait aussi des toilettes pareilles au fond du jardin. Nous, les *petites Suisses* n'aimions pas y aller. Même par temps de pluie, cela ne sentait pas la rose.. Et nos petites jambes ne touchaient pas par terre. A Vic sur Aine. Nous qui avions le confort de toilettes à l'intérieur de l'appartement loué, cela nous faisaient tout bizarre ces drôles de toilettes-là !
Maintenent, j'en garde un souvenir ému.
Béatrice
On appelait cela les wc turcs, et il ne fallait pas oublier le papier... journal!
RépondreSupprimerTrès juste !
RépondreSupprimerLe papier journal !!! même en Suisse, chez nous, nous en découpions.
* maman y a plus d'de papier* ! Et la voilà qui accourt avec une nouvelle provision. Le papier en rouleaux était très cher. Même en Suisse, la plupart des familles étaient peu argentées au sortir de la guerre. Souvenir, souvenir.
Béatrice