Des minis bols à saké-
Voici ce que j'ai ramené du dernier voyage au japon : deux assiettes, achetées au alentour du plus grand marché aux poissons du monde, à Tokio.
C'était à devenir dingue. Des piles d'assiettes, de la céramique, de la céramique....
J'ai aussi ramené des petits bols à saké que j'utilise quand je fabrique mes colliers. Des milliers de mini bols dans les tiroirs d'une boutique d'Ise, lieu de pèlerinage, Temple tout simple, en bois, résidence de la déesse du soleil, ou le *croyant*, n'a pas le droit d'entrer. Le symbole de la déesse est le miroir.
Ese est aussi l'endroit des rochers mariés. Vous devez connaître, cette photo est visible dans toute les agences de voyage, égale avec le tori dans l'eau, que, cette fois, j'irais voir, tout près d'Hiroshima.
Que c'est beau!
RépondreSupprimerAnne
J'adore les céramiques japonaises; à chaque voyage à Paris je vais "Au chat huant", près de Saint Séverin, où je ramène un bol, une clochette pour le jardin, des petits objets de papier qui portent bonheur afin de les offrir aux amies, bref plein de petits trucs toujours recherchés et fabriqués avec finesse.En plus on est accueilli par de la bonne musique classique ou du jazz dans une ambiance très soft.
RépondreSupprimerLe choix était difficile. Pourquoi ces deux là plutôt que d'autres.
RépondreSupprimerc'est vrai que ces céramiques sont vraiment belles...
RépondreSupprimerSi j'en ramène... j'essayerais de résister à la tentation... Elle remplaceront le poids du chocolat distribué... et les millefiories
RépondreSupprimer( lourdes ), que j'essayerais de vendre. Ainsi que le petit cadeau que j'enverrais au secrétaire de l'association japonaise d'orpaillage en Hokkaïdo, où je n'irais pas. Il devrais y avoir de la place pour des nouveautés, non ?
JE RESISTERAIS, JE RESISTERAIS, JE RESISTERAIS...
Vous connaissez la méthode coué ( ? )... JE RESISTERAIS.....
Une amie qui a vécu au Japon me disait que la bas la céramique se vend au kilo. Mais les belles pièces peuvent valoir de véritables fortunes. J'ai eu le privilège d'être invitée chez un collectionneur, M. Félix Tikotin, fondateur du Tikotin Museum d'art japonais de Haïfa, qui habitait à l'époque dans une villa au dessus de Vevey. Il sortait de ses armoires d'innombrables boîtes à thé anciennes et bol à thé de cérémonie en grès cuites au four à bois,ou en raku, donc les couvercles étaient taillés dans de l'ivoire. Ces boîtes étaient enfermées dans des sachets de soie, eux même emballés dans des boîtes en bois qui étaient emballées de tissus. Chacun de ces bols et de ces boîtes valaient entre 2000 et 5000 chf à l'époque (1974), je n'ose imaginer ce qu'elle valent maintenant. Il me les mettait dans les mains pour que je puisse toucher, le touché est tellement important dans la céramique, et moi je tremblais tellement d'en lâcher une que je ne pouvais pas vraiment apprécier ce moment unique et cette chance. Quel dommage!
RépondreSupprimerPour kashan.
RépondreSupprimerJ'ai vu des soldes, mais pas de céramiques vendue au kilo.
C'est une chance exceptionnelle que d'avoir pu voir une collection de bols de cérémonie. Ces objets, en effet valent des fortunes. A mon premier voyage j'en ai vu dans les galeries au dernier étage de grands magasins pour plusieurs milliers de francs. j'en ai, bien sûr, beaucoup vu dans les musées et chez les antiquaires, même dans des magasins... normaux, exposés sur leurs boîtes en bois.
Béatrice.