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mardi 11 mai 2010

Deuxième compétition : le pan américain.


Gros plan sur la batée * pan américain*. Les *rainures * qui devraient retenir les paillettes.




Technique : bien secouer dans l'eau, plusieurs fois. Laver à la verticale d'un mouvement de va et viens. Secouer dans l'eau, laver, secouer, laver...... Sur ces photos, vous voyez bien les *rainures *.

Avec cette batée, une Suissesse, Marlyse, a gagné le championnat du monde, dames, aux USA il y a déjà plusieurs années.

Joseph qui viens depuis l'Alsace.


Pour être *enregistré* on lève les bras en l'air en criant* stop*. Le bouchon du tube, où, nous avons espoir d'avoir déposé toute les paillettes, fermé.


Laver le sable à la vertical, le pan américain ayant des *rainures* qui retiennent les paillettes d'or. A condition d'avoir bien secoué pour que les paillettes se retrouvent au fond de la batée.

Au premier plan Sylvie, l'organisatrice. Une *Dame* qui a gagné pas mal de médailles dans les nombreuses compétitions qu'elle pratique. Championne des dames, au dernier championnat Suisse open, l'année passée. Une championne, quoi !

Le bidon se vide en trois , quatre fois.

Top départ ! 20 à 30 litres à *laver*.


Activité de plein air pour tous les âges.

En attendant le gong ! Pas le droit de toucher au bidon... au risque d'être disqualifié ! C'est sérieux.

7 commentaires:

  1. Que fait-on des paillettes trouvées au fond de la batée?
    Anne

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  2. Anne.
    Bonne question ! On se les garde. C'est tellement peu, qu'il faut un bon nombre de compétitions pour pouvoir peser un gramme.

    Il y en a qui vont entre les compétitions essayer de récupérer les paillettes perdues. Plus facile dans les grands championnats où nous orpaillons dans des bassins aux mesures réglementaires.

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  3. Merci pour ce reportage, Béatrice. J'assistais (en spectatrice) à un championnat d'orpaillage en Limousin en juillet 2002. Peut-être y étiez-vous aussi et vous ai-je rencontrée sans le savoir?
    Anne

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  4. Incroyable mais vrai !! Bravo les orpailleurs...

    Il n'y a que la foi qui sauve... et un gramme d'or

    Bravo Béatrice pour les photos.

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  5. Anne.
    Je ne me rappelle plus la date, mais j'étais à St Irieux la Perche pour un petit trophée d'orpaillage, en effet. Complètement informel. Nous y étions allées, Sylvie, la dame qui organisait *Osselle*, et moi, la seule Suissesses avec ma voiture, en la prenant au passage en Savoie. Ce n'est quand même pas la porte d'à côté. En 2002 j'étais au Japon pour le championnat du monde. Vous souvenez-vous de l'endroit ? Y avait-il des Suisses ? Au Japon, nous n'étions que 3 Suisses.Je crois que des Suisses sont allés dans le Limousin cette année-là.
    MAIS, cette année, je crois que le championnat de France est dans le coin. Je vous tiendrais au courant.
    je profiterais pour visiter la région, en prenant quelques jours supplémentaires. Ce qui n'était pas possible la dernière fois puisque, Sylvie, institutrice devait rentrer.
    En général, je profite toujours de visiter la France ... et l'Espagne, sur le chemin des compétitions.
    A Osselle, je prévoyais de ne rentrer que le lundi et visiter les salines d'Arc et Senans.La citadelle de Besançon est dans mes projets jamais assouvis. Comme vers 15h., après la distribution des prix, il faisait un temps ce cochon, j'y ai renoncé et suis rentrée. Ce n'est qu'à 1h.30 sans compter sur les frontaliers qui travaillent en Suisse. Ce n'est donc que partie remise, pour un jour ensoleillé. Cette petite escapade du futur pourra faire un joyeux reportage sur le blog.

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  6. Je serai ravie de découvrir votre reportage lorsque vous le publierez. Vous avez raison d'attendre le soleil, car rester ainsi dans l'eau glacée ne doit pas être très agréable.
    Bonne fin de semaine!
    Anne

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  7. Anne,
    Avec les bottes on ne sens pas le froid !

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