Cette jaquette reprend la bordure du sari. Bien sûr, cette année, j'aurais trouver un violet plus *assorti *. Hélas, l'année passée, rien de tout çà..
La petite veste est taillée dans le *rabat* du sari.
Les boutons viennent de * La Mercerie *,
juste à côté de l'église St. Eustache,
à proximité des halles, à Paris. Il fallait trouver un vert olive !!!
Enfin coupé, l'année passée à l'occasion du mariage d'une copine.
La bordure du sari vient décorer le bas des vêtements.
Celle-là est très vieille. Taillée dans une soie ramenée de Thaïlande.
A l'aise pour vadrouiller sous 22 degrés annoncé à Tokio.
Plus bas dans le pays, il fera donc plus chaud.
La robe est décolleté bretelles croisées au dos. Un petit caraco, vient compléter l'ensemble, dans une dentelle banale. Dans ma petite ville, il n'est pas toujours aisé d'avoir du choix. En plus, les gens font de moins en moins leurs habits. Parole du propriétaire du magasin de tissus, que je connais bien puisque je leurs ai fait leurs vitrines pendant des années.
J'ai quand même eu la chance de trouver une dentelle bleue marine !
Cette robe-là, vous l'avez déjà aperçue sur le blog, dans la rubrique *teinture*.
Et bien, j'ai trouvé une dentelle déjà teinte qui me fais un joli dégradé, tout en rallongeant le vêtement.
Le coton *colle*, je l'ai donc doublée.
J'adore les couleurs de votre sari! La soie est somptueuse et vous allez être admirée dans ces beaux vêtements. Je vous félicite de votre habileté à confectionner vous-même ces tenues raffinées. Vous avez beaucoup de talent. J'imagine que les kimonos traditionnels japonais vont vous enchanter.
RépondreSupprimerAnne
Pour Anne.
RépondreSupprimerJe me rappelle encore les circonstances de l'achat de ce sari qui est un ikat. La soie en écheveaux est teinte oar cache. Au tissage, le procédé du dessin apparaît. C'est une technique très sophistiquée. les plus forts sont les indonésiens qui font des * doubles ikat*.
Nous avions demandé à notre chauffeur de nous amener dans un atelier pour voir le travail d'ikat. On arrive là, quelques passages sur des morceaux de planches au milieux de la boue. Des métiers à tisser installés dans des ateliers qu'un chat n'y trouverait pas ses petits... très sombre. Nous avons admiré le travail de teinture. J'ai des dias, mais il faudrait les scaner.
Viens le moment de l'envie d'acheter un sari. Une natte est déroulée, les saris nous sont présenté dans une parfaite propreté.
Merci pour ce souvenir précis. On a l'impression d'y être. Je crois qu'un sari mesure 10 m de long, n'est-ce pas? Mais comment font les Indiennes pour se draper dedans? Cela m'a toujours fascinée. Elles ont une allure si noble dans ce vêtement!
RépondreSupprimerAnne
Bravo pour tes talents de couturière. Et ce voyage au Japon, c'est prévu pour quand ?
RépondreSupprimerLinda
Martine dit, Mais où trouve tu le temps de faire toute cette couture, et tricot, à 2 doigts de ton départ !. je crois que tu viens d'une planète pas encore découverte, tant d'énergie tu a. Je rêve d'ouvrir une petite boutique, avec toutes tes merveilleuses créations, tant elles sont de vrais bijoux. j'en reste bouche bée, que je devrais refermer, si je veux pouvoir parler Dimanche à la brocante de la Riponne.Bons baisers
RépondreSupprimerTiendrais-tu le coup dans une boutique, toute la journée, toi qui a pris goût à la liberté !!! Et moi, tu crois que je tiendrais le coup, au rythme que tu m'imposerais à vendre mes créations comme des petits pains, faisant jouer tes dons de bonne vendeuse.
RépondreSupprimerEn tout cas merci pour le compliment.
Les créations ne sont pas toute de cette année.
Non, non, gardes la bouche ouverte, c'est plus judicieux pour la vente de dimanche. Je vais venir en gros bourdon pour voir si tu distribues les papillons pour la brocante du mois de décembre. Et gare à tes oreilles, auxquelles je vais *bourdonner* si tu as oublié la pub.
Béatrice.