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A chaque petit vélo, son installation spéciale en fer, sur le porte bagage et à l'avant, pour y recevoir de gros paniers garnis de terre. Les plantes viennent garnir le tout. C'est très joli.
Mais l'idée de peindre un vélo et de le garnir n'est pas nouvelle.
Combien de fois l'ai-je vue dans les vitrines de printemps, ou sur des cartes postales.
Ici, c'est l'effet de masse qui est intéressant.
Peut-être pourrais-en emprunter un, pour une vitrine de printemps ? Je n'ai jamais réalisé cette idée moi-même. Ou irons donc ces petit vélos, une fois la *fête* terminée ?
Détail de la matière ajoutée.
Sous l'arche originale.
la première vision en entrant dans le jardin.
*l'ERE DU FUTUR*
Peut-être, ceux qui ont un jardin, se verrons dans le futur, obligés d'y installer le surplus de la société de consommation. Qui sait ?!
Je me rappelle la voiture qui gicle, dans le musée de Dali à Cadaces (?).
Merci pour votre commentaire sur mon blog, Béatrice, j'irai visiter votre blog.
RépondreSupprimerJ'aime bien votre phrase :"Il faut savoir écouter le pourquoi de ce qui vous arrive, et transformer en positif ce que l'on perçoit comme négatif au départ".
Toute une philosophie de la vie, très proche du concept de "résilience" de Boris Cyrulnik.
A bientôt.
Norma
Les vélos de l'arc-en-ciel dorment dans les jardins de Lausanne.
RépondreSupprimerAnne
ah oui c'est une façon TRES sympa de recycler (mais non, ce n'est pas de l'humour, je suis NULLE en humour) de vieux vélos qui encombrent le garage en rouillant !
RépondreSupprimerA Norma.
RépondreSupprimerEt d'autres comme Chrisna Murti. J'étais très jeune quand un ami m'a amené à Sachnach ( quelque chose comme ça ), pour écouter une de ses nombreuses conférences. Il venait en Suisse une fois par année, toujours au même endroit. C'était toujours bondé !
Qui est Chrisna Murti?
RépondreSupprimerAnne
J'ai honte !
RépondreSupprimerAprès 4 voyages en Inde, je devrais quand même savoir comment on écrit Krishnamurti.
Relevé sur internet
U.G Krishnamurti est né en Inde en 1918 et a été initié très jeune à la théosophie et à la religion hindoue. Après avoir donné des conférences sur la théosophie et la spiritualité pendant quelques années, U.G Krishnamurti abandonna cette activité qui n’était plus en accord avec ses convictions profondes. En effet, à cette époque, U.G Krishnamurti se libéra de la recherche de l’éveil pour ne plus rien chercher : « La quête même d'une réalité ultime n'est qu'un mécanisme d'auto-continuité. Il n'y a rien à atteindre, rien à gagner, rien à réaliser. » Quoiqu’il déclara donc alors ne rien avoir à enseigner à l’humanité, des milliers de personnes continuèrent à s’intéresser à lui et à venir le rencontrer. En effet, la pensée et la vie de U.G Krishnamurti continuèrent à fasciner son entourage: son détachement de la vie matérielle (il refusait toute forme de droit d’auteur sur ses conférences), son refus des concepts, du mental, (« Il n'y a rien à comprendre » répètait-il sans cesse), son absence de revendication et son rejet de la religion ou des maîtres à penser, ainsi que sa conception provocatrice des philosophies orientales forment un enseignement parmi les plus surprenants de notre époque.
Oui, Béatrice, vous qui aimez l'art, allez faire à nouveau un tour à londres, vous ne serez pas déçue !
RépondreSupprimerNorma